L'auditoriaume de la faculté des sciences de la nature et de la vie, des sciences de la terre et de l'univers – université de Tlemcen – a organisé, mardi, une cérémonie de célébration du 62e anniversaire de la fête de la victoire marquant le cessez-le-feu du 19 mars 1962.
Cette journée nationale a ouvert de larges perspectives au peuple algérien pour vivre dans la dignité, et est le résultat de longues négociations à Eviane entre les autorités françaises et le front de libération nationale le 18 mars 1962.
À cette occasion, le recteur de l'université de Tlemcen, Pr.MEGHACHOU Mourad, a souhaité la bienvenue aux invités, où il a relaté les circonstances historiques de cet anniversaire par les chères révolutions du peuple algérien qui a tant sacrifié pour le recouvrement de l'indépendance et de la souveraineté de l'Algérie.
De son côté, l'enseignant Benabdelmoumene Ibrahim a affirmé que l'occupant français n'a pas fait de cadeau via le cessez-le-feu, il s'agissait d'une réalité imposée par le peuple algérien et sa révolution.
À l'issue de cette cérémonie, un poème sur les sacrifices du peuple algérien pour l'indépendance a été récité par l'étudiante BENYAKHLEF NADJLA.
Cette journée nationale a ouvert de larges perspectives au peuple algérien pour vivre dans la dignité, et est le résultat de longues négociations à Eviane entre les autorités françaises et le front de libération nationale le 18 mars 1962.
À cette occasion, le recteur de l'université de Tlemcen, Pr.MEGHACHOU Mourad, a souhaité la bienvenue aux invités, où il a relaté les circonstances historiques de cet anniversaire par les chères révolutions du peuple algérien qui a tant sacrifié pour le recouvrement de l'indépendance et de la souveraineté de l'Algérie.
De son côté, l'enseignant Benabdelmoumene Ibrahim a affirmé que l'occupant français n'a pas fait de cadeau via le cessez-le-feu, il s'agissait d'une réalité imposée par le peuple algérien et sa révolution.
À l'issue de cette cérémonie, un poème sur les sacrifices du peuple algérien pour l'indépendance a été récité par l'étudiante BENYAKHLEF NADJLA.